Valvins

Si tu veux dénouer la forêt qui t’aère
Heureuse, tu te fonds aux feuilles, si tu es
Dans la fluide yole à jamais littéraire,
Traînant quelques soleils ardemment situés

Aux blancheurs de son flanc que la Seine caresse
Émue, ou pressentant l’après-midi chanté,
Selon que le grand bois trempe une longue tresse
Et mélange ta voile au meilleur de l’été.

Mais toujours près de toi que le silence livre
Aux cris multipliés de tout le brut azur,
L’ombre de quelque page éparse d’aucun livre

Tremble, reflet de voile vagabonde sur
Sur la poudreuse peau de la rivière verte
Parmi le long regard de la Seine entr’ouverte.

       ヴァルヴァン

もしあなたが 幸せにも あなたに風をおくる森を
解きほぐそうとしても、あなたは葉叢に溶けこんでしまう、もし
永久に文学的に流れるボートのなか、
セーヌ川が心動かされて愛撫するその船縁の

白さに 焼けつく陽光をいくつか 引き連れて
あるいは、午後が歌われるのを予感しながら、
あたりの森が長々と編んだ髪を浸して、
あなたの帆を夏の粋に混ぜ合わせるがままにするなら。

一方 静寂のさなかに 野放しの蒼空の
いや増す叫びを耳にするあなたの傍にはいつも
とある書物の断片の とあるページの幻影が

揺れている、さすらう帆の反映さながら
光の粉のきらめく緑の川の肌のうえ
薄目を開けたセーヌの長い眼差しのもと。